« Fernando Pessoa - Mendiant | Accueil | Paul Verlaine - En sourdine »
A trop vouloir démonter les statues, on
tombe sur des coeurs qui bougent à peine.
On devrait suivre le bonheur de plus
près et ne retenir du monde que ses grands
titres.
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.
L'utilisation des commentaires est désactivée pour cette note.
Plus...
Commentaires