Il y eut des pas sur le sable
qui conduisaient à des pieds nus,
Ses yeux et l’eau étaient si clairs
que le fond de tout paraissait,
Les vêtements et les mensonges
avaient été démis du songe,
N’eût-elle relâché les doigts
lui eût-il mieux tenu la main,
Tous deux auraient dormi mille ans
dans un tombeau des Alyscamps.